Princes, cocktails et décisions
Je n'ai pas écrit Biochimie de l'amour par hasard. Si j'ai écrit cet article, c'est parce que j'ai rencontré quelqu'un très récemment qui m'a fait ressentir tout le cocktail d'émotions dont je me suis servi pour écrire ce texte. Et des évènements parallèles m'ont forcé à y réfléchir encore plus.
Donc, j'ai rencontré le P.(rince charmant). Le P.(rince charmant) a avoué ressentir exactement le même cocktail d'émotions pour moi, ce qui est très positif! Ce qui l'est moins, c'est que le P.(rince charmant) a une P.(rincesse charmante) - ou un 'lièvre', appelez ça comme vous voudrez. Et pour plusieurs raisons plus ou moins dépendantes de notre volonté, le P.(rince charmant) et moi, on ne se reverra pas avant un certain temps.
Passé le trip de la phényléthylamine et le bad-trip des premiers jours d'absence (où est-il? que fait-il? que lui dit-il? pense-t-il encore à moi? etc.), j'ai réfléchi. Je ne sais pas ce qui se passera avec lui, mais ce qui est certain, c'est que notre rencontre m'a fait prendre conscience de l'ampleur du vide de la relation que j'entretiens depuis bientôt 2 mois avec l'autre Prince (l'Afghan). Ces dernières années, à défaut d'avoir vécu le grand amour, j'ai connu le sexe sans désir/avec amour (Ex, les derniers mois) et le sexe avec désir/sans amour (S., le Requin, Trésor, et j'en passe...). J'arrivais encore à trouver du plaisir dans ces deux-là. Mais avec l'Afghan, j'ai découvert le néant total: le sexe sans désir/sans amour (à quand l'anti-matière?).
Il y a encore quelques mois, j'aurais continué cette relation (que je savais par ailleurs vaine) en me disant que je pouvais m'en contenter. Mais ma rencontre avec P. en a fait ressortir tous les aspects insatisfaisants. L'Afghan et moi, c'est l'absence de flamme, l'absence de tendresse, l'absence de paroles, l'absence de tout. Ce n'est définitivement pas ce que je veux, et je crois bien que c'est le genre de situation que je ne peux plus supporter.
J'ai rompu avec l'Afghan hier soir. Moi qui n'avais jamais laissé personne jusqu'à l'an dernier, c'est la deuxième fois depuis le début de l'année que je décide de rompre. Si j'ai mis fin à cette histoire, ce n'est pas pour P. (car je n'ai aucune idée de ce qui va arriver entre nous), mais bien pour moi. Parce que je dois me respecter. Parce que c'est comme ça que ça fonctionnera désormais.
Je vous souhaite une bonne semaine! Pour ma part, ce sera les pieds dans l'eau, à siroter des cocktails justement... Besos!
Donc, j'ai rencontré le P.(rince charmant). Le P.(rince charmant) a avoué ressentir exactement le même cocktail d'émotions pour moi, ce qui est très positif! Ce qui l'est moins, c'est que le P.(rince charmant) a une P.(rincesse charmante) - ou un 'lièvre', appelez ça comme vous voudrez. Et pour plusieurs raisons plus ou moins dépendantes de notre volonté, le P.(rince charmant) et moi, on ne se reverra pas avant un certain temps.
Passé le trip de la phényléthylamine et le bad-trip des premiers jours d'absence (où est-il? que fait-il? que lui dit-il? pense-t-il encore à moi? etc.), j'ai réfléchi. Je ne sais pas ce qui se passera avec lui, mais ce qui est certain, c'est que notre rencontre m'a fait prendre conscience de l'ampleur du vide de la relation que j'entretiens depuis bientôt 2 mois avec l'autre Prince (l'Afghan). Ces dernières années, à défaut d'avoir vécu le grand amour, j'ai connu le sexe sans désir/avec amour (Ex, les derniers mois) et le sexe avec désir/sans amour (S., le Requin, Trésor, et j'en passe...). J'arrivais encore à trouver du plaisir dans ces deux-là. Mais avec l'Afghan, j'ai découvert le néant total: le sexe sans désir/sans amour (à quand l'anti-matière?).
Il y a encore quelques mois, j'aurais continué cette relation (que je savais par ailleurs vaine) en me disant que je pouvais m'en contenter. Mais ma rencontre avec P. en a fait ressortir tous les aspects insatisfaisants. L'Afghan et moi, c'est l'absence de flamme, l'absence de tendresse, l'absence de paroles, l'absence de tout. Ce n'est définitivement pas ce que je veux, et je crois bien que c'est le genre de situation que je ne peux plus supporter.
J'ai rompu avec l'Afghan hier soir. Moi qui n'avais jamais laissé personne jusqu'à l'an dernier, c'est la deuxième fois depuis le début de l'année que je décide de rompre. Si j'ai mis fin à cette histoire, ce n'est pas pour P. (car je n'ai aucune idée de ce qui va arriver entre nous), mais bien pour moi. Parce que je dois me respecter. Parce que c'est comme ça que ça fonctionnera désormais.
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Je vous souhaite une bonne semaine! Pour ma part, ce sera les pieds dans l'eau, à siroter des cocktails justement... Besos!